UNITY, mil neuf cent dix-huit

du 18 février au 22 mars 2003 à ESPACE GO

du 27 mars au 5 avril 2003 au Centre national des Arts d’Ottawa

en tournée en 2005-06

Texte Kevin Kerr

Traduction Paul Lefebvre

Mise en scène Claude Poissant

Une production du Théâtre PÀP 

 

Avec Mireille Brullemans ~ Sophie Cadieux ~ Alexandre Frenette ~ Josée Guindon ~ Steve Laplante Jean-Sébastien Lavoie Evelyne Rompré Karine St-Arnaud ~ Guy Vaillancourt ~ Jennie-Anne Walker

Scénographie Simon Guilbault ~ Costumes Marc Sénécal  ~ Accessoires Philippe Pointard ~ Chant et musique Yves Morin ~ Conception sonore Te tairas-tu? ~ Maquillages Angelo Barsetti ~ Mouvements Suzanne Trépanier ~ Assistance à la mise en scène et régie Jean Gaudreau

À l’automne 1918, à Unity, une petite agglomération rurale perdue au milieu des Prairies, les jeunes filles attendent la fin de la guerre et le retour des garçons. À travers le regard de Béatrice, on découvre une société qui ne se doute pas que les vents violents du nouveau siècle ont commencé à l’agiter. Unity est un petit village de Saskatchewan, situé à environ une heure à l’ouest de Saskatoon. Quoique cette histoire soit inspirée de faits réels, les personnages et les événements de la pièce sont totalement fictifs

« Et voici qu’apparut à mes yeux un cheval pâle ; celui qui le montait, on le nomme la Mort, et l’Enfer le suivait. Alors on lui donna le pouvoir sur les quatre coins du monde de tout exterminer par la famine, par la peste et par les bêtes fauves de la terre. »
– Sissy (quelques jours avant la fin)

Crédit photo : Yannick Macdonald

Kevin Kerr est un auteur né en Saskatchewan, qui vit à Vancouver et qui vient d’y remporter pour sa pièce UNITY (1918), la version originale anglaise de Quelques jours avant la fin, deux Jessie Awards : Meilleur texte original et Meilleur auteur émergeant. Plusieurs de ses textes ont été produits par l’Electric Company Theatre pour laquelle il est codirecteur artistique. UNITY (1918) a été créé à Vancouver au Touchstone Théâtre, le 16 mars 2001, dans une mise en scène de Katrina Dunn.

Crédit photo : Julie Artacho